En France, la recherche avance, notamment grâce à la chercheuse Sophie Yvon.
Cette enseignante-chercheuse à l’École d’Ingénieurs de PURPAN, a mis en évidence les effets rééquilibrants du lait d’ânesse sur les intestins malades, lors de sa thèse au laboratoire Toxalim de l’INRA.
Il est reconnu que, lorsque l’on souffre de pathologies touchant les intestins telles que la maladie de Crohn, la diarrhée, la constipation… le microbiote intestinal subit des attaques. Les symptômes de ces attaques se traduisent entre autres par des maux de ventre et un déséquilibre global du microbiote.
Sophie Yvon a donc mis en évidence au cours de sa thèse, qu’une enzyme particulière était présente en forte concentration dans le lait d’ânesse. Il s’agit de la lysosyme, une enzyme aux propriétés anti-bactérienne, anti-tumorale et anti-inflammatoire. Elle permet donc aux personnes souffrant de pathologies aux intestins, de retrouver leur équilibre intestinal.